1er mai : la CPME défend la liberté de travailler


navigate_before Retour aux actualités

Le 1er mai est en France, un jour férié obligatoirement chômé

Aussi, il est, sous peine de sanctions, interdit pour les poissonniers de faire travailler leurs salariés, alors que d’autres activités, comme la restauration, considérées comme « essentielles » le peuvent. Il est loin et vite oublié, le temps du Covid où les entreprises de l’alimentaire étaient remerciées d’avoir maintenu un lien et un approvisionnement des français et étaient qualifiées de commerces essentiels…

La CPME, dont l'OPEF est membre, met en évidence l'incohérence du système, quand un établissement de restauration rapide (fast food) pourra ouvrir tandis que l'artisan poissonnier écailler voisin qui s’aventurerait à faire travailler ses salariés encourt de lourdes amendes, en cas de contrôle.

Ces aberrations pénalisent les entreprises de proximité, celles qui créent de l’emploi et font vivre les centres-villes.

Vers un changement ?

La CPME demande une réforme de bon sens : permettre à ceux qui le souhaitent de travailler le 1er mai, dès lors qu’un accord d’entreprise ou de branche le prévoit - comme c’est déjà le cas pour les autres jours fériés.

Consulter le communiqué de presse de la CPME

Retour en haut de la page